Comme je vais partir quelques jours à la montagne pour méditer (à compte d'hauteur), je vais vous laisser, comme on laisse des croquettes au chat, deux de ces calembredaines que vous lisez avec un plaisir coupable, chers petits vampires.
"On est si peu de chose dans cette grosse machine qu'est la société : être chiffonné, chiffon-né ; on est fiché, on est fichu, juste un fichu sur un nez ; on naît chiffe puis on est siphonné par cette société de chiffres, honnie."
Enfin, pour vous faire patienter une huitaine, un exemple d'indigence littéraire digne du Guiness des records.
"Quel est le rapport entre la pizza calzone et l'opéra Cosi fan tutte ? ........Tout Mozart est là."
Là-dessus, champagne : c'est le centième texte de mon blog. Je sais que je déblogue complètement mais c'est la faute de ma maman qui m'a fait naître avec des muscles (tout chaud sorti du four j'avais déjà des petites boules au niveau des mollets) et un peu muscat (parfois, constatant autour de moi les ravages de la démence sénile, je me dis que je finirai complètement jobastre).
Des croquettes au chat, pour moi se sera un reste de La pain et c'est le Rat qui parle, étant né en 1972, année du rat dans l'astrologie chinoise pour les PostNéophytes.
RépondreSupprimerChampagne donc pour cette centième de texte, cette centaine de centimètres de tour de mollets également, 'j’avoue avoir été longtemps envieux de ces deux jambonneaux qu'aucun de mes exercices de musculation, à l'époque, ne m'auraient permis d'atteindre. Je n'étais qu'un homme certes.