N'étant ni économiste, ni agronome, ni urbaniste, je n'ai que peu de solutions à opposer aux problèmes du monde contemporain. D'ailleurs, aucun homme seul ne les possède et si l'un de nous prenait le pouvoir en se targuant de cette puissance de résolution il y aurait danger d'autocratie, de dictature, de tyrannie.
Mais, mais, mais, bien que pas assez savant dans de nombreux domaines, quarante-cinq ans d'autodidactisme me permettent d'avancer quelques analyses (ceux qui me lisent régulièrement savent à quoi s'en tenir) et une théorie : l'esprit du dix-neuvième et du vingtième siècles aboutit à une impasse. Il est temps de passer de l'industrialisme à l'environnementalisme.
Que le Nalash soit avec nous ! Que le monde s'ouvre à une écologie heureuse et retrouve un peu de fraîcheur dans ses perspectives !
Voilà, aujourd'hui, c'est tout sucre, tout miel. Alors finissons, ce mercredi des Cendres (ce mec redit : descendre !*) avec un ludonyme :
Que dire de ce claveciniste à la chevelure savamment gominée... Il joue l'épi net ?
*J'en profite ignoblement, parce que quand l'orthographe flottera dans tous les sens, adieu les jeux de mots !
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