Chers petits vampires lecteurs, loin de moi l'idée de vous taxer de vice mais je note que...
1 dès que je ralentis le rythme de mes publications vous désertez yadupeku?
2 que certains se jettent sur mes lignes encore fraîches pour les saigner à blanc
3 que vous êtes d'une paresse hallucinante pour ce qui est des commentaires.
Et je ne parlerai pas des petits dépravés qui se délectent des à-peu-près indignes et des calembours consternants. Ceci dit, comme je vous aime bien et que je suis aussi pervers que vous, voici de quoi assouvir vos penchants à l'obsession textuelle.
De Groot n'était pas né (contrairement à l'escalope) que je bombardais mes condisciples collégiens avec mon verbe trafiqué et ma verve foutraque. Et même, selon des sources obstétriciennes, mes premiers gazouillis ressemblaient déjà à des saillies bou(le)vardiennes ; alors laissez-moi retrousser mes manches (et non remousser mes tranches) et faire quelques enfants illégitimes à la Langue française.
Comment appeler un boulot où l'on doit être un chameau, chaque semaine, pour ses subordonnés terrorisés : un travail hedromadaire.
Élections : vide-ordures, parfois.
Casquette d'un chauve qui tire ses mèches temporales sur sa calvitie : galette à la frange en panne.
En buvant au marigot l'hippopotame a avalé un pique-boeuf : l'oiseau a subi... l'hippo succion.
A ma totale stupéfaction mon ami a gobé un morceau de mousse de foie gigantesque, d'où zeugma (ce n'est pas du verlan) : impressionnantes, sa tranche de pâté et ma tronche d'épaté.
J'évite de manger du poisson très pané : j'ai peur qu'il me donne des trous de mémoire.
1998 : nous avons aimé les pics de l'épique équipe de l'époque, les "pecs" impeccables de ce pack capé, héros de cape et d'épée qu'happaient les paparazzi et les papas rasés.
N.B. : je me demande si je ne viens pas de gâcher une heure de ce superbe après-midi ensoleillé...
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