Jésumarijosef, je ne supporte plus ce mot : écologiste. Entre les Verts, politiques consternants, et tous ceux qui nous jouent les chattemites de l'environnement en cette sainte année de la COP 21, il y a matière à rire jaune. ÉCOLOGISTE : ne plus l'utiliser -sauf pour les scientifiques qui méritent ce nom- parce qu'il est devenu un terme fourre-tout, vide de substance, et méprisant dans sa version raccourcie (écolo).
A partir de tout de suite, je me contenterai de naturophile, qui peut se réduire aisément en naturo. Me voici donc un naturo hétéro, ce qui fait beaucoup de ro, j'en conviens, mais je ne suis pas à une éructation près !
A propos d'éructation, ce matin, en écoutant la radio, j'ai imité le brame du cerf -c'est de saison- en entendant que le Louvre recourait au financement participatif ; je pourrais avoir le triomphe modeste mais j'en suis plutôt au triomphe amer... Le 2 février, dans l'article ÉPANCHEMENT D'ACRIMONIE, je criais au dévoiement du crowdfunding : ça n'a pas raté.
Les gros vont assécher les sources et les petits entrepreneurs de la culture vont mourir de soif. A moins que les citoyens aux bourses hypersollicitées -on appelle cela le syndrome Rocco- gardent leur artiche (les fonds d'artiche aux petits poids) pour les projets modestes. 0n peut toujours rêver.
Le plus mauvais jeu de mots de la journée, proféré au bord de la mer :
"T'aimes les tapas ?
-Oui, surtout ceux en boulettes. Tu sais les... tapas en balles."
Allez, je ferais mieux de prendre mon morey et de me casser. DMOS
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