Deux mois, quasiment sans radio, ni télé, aveugle et sourd à internet ! Léger comme un papillon et futile comme une Paris Hilton méridionale... Revenu en mes terres pradétanes, je sens mon cerveau qui rebouillonne, mes doigts qui me démangent.
Déjà, je ne peux retenir mes hoquets sarcastiques à l'idée de l'éléphantiasis médiatique du COP21 qui accouchera de l'immanquable souris (et si je me trompe j'essuierai quolibets et crachats avec délice, car quelque chose aura enfin changé).
Vous allez devoir me laisser un peu de temps pour que j'organise ma pensée, tant est grande la profusion de matière à saillies.
Toutefois, ayant laissé plus de soixante jours jeûner votre esprit, si friand des mes foucades verbales, je me devais de vous offrir deux pralines littéraires pour tromper votre faim.
Ce ne sont pas les poignards, les kalachnikovs et les bombes qui tuent le plus, c'est le cynisme, loin devant le fanatisme.
J'ai acheté un mini-tube d'orange pour faire un zeste de peinture.
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