Ce matin, commençons par un sourire : il concerne les patronymes et en particulier ceux qui sont l'addition de deux noms de famille, autorisée par l'état-civil, et qui nous vaut la floraison d'acronymes dont les journalistes se gobergent à propos des pipeuls. DSK, PPDA, FOG (celui-là est un peu nébuleux, je l'admets), NKM,... Dorénavant, appelez-moi DM, prononcé à l'américaine, soit diem. Et j'attends avec impatience le jour où une femme au patronyme double exigera de le conserver intégralement pour l'accoupler au nom-composé de son mari , le jour où madame Lamy-Sonjon épousera monsieur Durand-Lanusse*.
Et maintenant, finissons par un point à discuter : il me semble que nous confondons les mots Progrès et Innovations, en particulier à propos des Sciences. Ne pensez-vous pas que la recherche constante d'innovations est un des caractères de l'Homme, mais que cette innovation ne constitue pas automatiquement un progrès ? Et pourtant, j'entends bien des politiciens parler de progrès pour une innovation, se donnant par là une caution positive et anticipant sur les effets de la nouveauté en question. Je laisse cela à votre appréciation.
*Patronymes authentiques
Aaaah ! Qu’on ne me lance pas sur le sujet du progrès, et sa définition effectivement largement galvaudée. Moi aussi ca m’agace fort. Vaste réflexion qui mériterait d’être abordée dès l’enfance par des profs de philo. Faire comprendre aux jeunes esprits à quel point ils sont les premiers à être exploités sur ce thème par les entreprises du C.A.C (A si je veux être une bonne yadupékuiènne, comme dit ma moitié à propos de mes yeux bridés) 40. Ainsi au lieu de renouveler sans cesse au grand dam de leurs parents leurs tablettes, téléphones et autres cochonneries pour des soi-disant progrès totalement surfaits, ils pourraient investir dans Science et vie, par exemple, qui nous présente lui de vrai progrès, nous faisant parfois rêver avec des cités éolienno-solaires ou autre avion sans kérosène qui pue et pollue. Mais où sont donc passés les petits diables qui battaient le pavé et la campagne en quête d’aventures ou d’expériences parfois facétieuses pour lesquels ils recevaient certes souvent des calottes bien méritées (j’ai les mêmes géniteurs que l’auteur de ce blog, se référer à l’article sur la fessée) mais qui faisaient d’eux d’authentiques esprit libres futur fondateurs de, entre autre, Yadupéku, blog remarquable devant lequel je m’incline. Comme la dernière fois, je te laisse corriger les fautes d’orthaugrafes. Ta sœur…en short, car finalement, l’été absent en région parisienne semble faire quelques hoquets bienfaisants.
RépondreSupprimerBien, bien, bien ; je vois que nous avons trempé notre plume dans le même encrier. Deux petites pastilles positives pour toi : un, si tu ne connais pas encore, recherche arbre-à-vent, une éolienne super inventée par un breton ; deux, je t'embrasse.
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