J'emprunte ce titre à Alphonse Allais ( pas vache en l'occurance), pour vous parler de nos zopos, lesquels, actualité oblige, font régulièrement bouillir ma cafetière cérébrale.
Curieux de savoir si les jeux de mots ont un sens, je me propose de tester quelques à-peu-près sur nos candidats à la présidentielle.
Fillon, filleul fielleux, auquel nous ne nous fions guère ?
Le Pen, à peine pénible, à la clé de son destin en main.
Macron (anagramme : mon car...), macro(n)céphale, mais creux ?
Lassalle lassa la salle de ses saillies.
Poutou pour tout pourri ?
Dupont-Aignan, du bon teigneux ou du bon agneau ?
Artaud en retard, en pétard.
Cheminade se minant en chemin.
Asselineau assez linotte.
J'en ai oublié deux ? Ah, mon... ami on met l'anchois où l'on peut ! Si nous mélangeons Mélanchon et Hamon, nous obtenons Mélamon ; le titre Mélamon, amis ?, outre son harmonie sonore, prêterait à des sous-entendus douteux, mais je ne m'aventurerai pas sur ce terrain.
Voilà, à vous de voir si le calembour "fait sens" , comme disent les gens qui causent bien.
A propos, vous avez dit zopo ? Et pourquoi pas zippo, quand ils mettent le feu à la salle (pas à Lassalle) ou zeppo, quand ils font leurs comédiens (Poutou et Besancenot, eux aussi des Marx brothers) ?
Zappons les zopos d'opposition et finissons par un pompion* : à bas les zopositions !
Nota bene : attention, cet article est susceptible de recevoir des additifs.
*Bonjour wikipédia...
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