Amis sportifs, je suis le seul intellectuel 50% sportif;
amis intellectuels, je suis le seul sportif 50% intellectuel;
amis cons, allez surfer ailleurs;
amis, jeunes ou vieux, qui ne voulez pas mourir idiots, venez me rendre une petite visite de temps en temps.

mercredi 14 janvier 2015

PROMIS

    C'est promis, mardi prochain je reprends la publication des PENSEES de mon obtus congénital et ce jusqu'à la fin du mois ; après, il faudra attendre l'éventuelle publication du livre pour déguster le reste. A suivre.
    Cependant, pour récompenser ceux qui me lisent fidèlement depuis des semaines je vais faire mon "comique-août" ; en effet, suivant l'air du temps -qui parfois sent un peu fort- je dois confesser que j'ai cédé à une pulsion de midinette, regardant avec un délice coupable, la vidéo d'un fan de Beyoncé qui, embrassé par la vedette, tombe dans les pommes.
    Sachez -de thé- que je ne lui jette pas la pierre ; moi-même si j'avais été étreint par Marguerite Yourcenar je me serais certainement pâmé.
    Voilà, c'est un lourd secret que je vous dévoile mais Dieu que je me sens bien après cette confession (qui, je l'admets, n'est pas du niveau de celles de Jean-Jacques Rousseau)!

lundi 12 janvier 2015

NOCABUDONOSOR

    L'idolâtrie, l'admiration sans bornes ni nuances ne sont pas ma tasse de thé mais j'ai toujours éprouvé des sympathies profondes et instinctives pour quelques personnes connues ; elles étaient -ou elles sont- pour moi comme des grands frères, ou soeurs, dans lesquels je me retrouve. Leurs indignations, leurs rires, leur philosophie de la vie sont les miennes. A chaque fois que l'un d'eux disparaît je disparais moi-même pour quelque jours, alourdi par un chagrin qui me semble excessif ; ils s'appelaient Brassens, Desproges, Yourcenar. Ils se nomment Le Clézio, Rabhi, Rochefort.
    Aujourd'hui c'est Cabu ; ce "con" qui m'avait fait tant rire m'a fait pleurer comme un gosse. Sans nous connaître nous partagions, il me semble, la férocité du trait -moi avec moins de talent- et l'amour de l'humanité. Vous comprendrez donc mon silence depuis mercredi ; je n'avais plus le coeur à plaisanter ou à brocarder.
    Pour le meilleur ou le pire, je reprendrai la publication des PENSEES D'UN OBTUS CONGENITAL mardi 20 janvier. D'ici là ma petite boutique sera fermée. A bientôt.