Saperlipopette, mes chers petits vampires lecteurs, quel bonheur de vous retrouver ; j'espère que je vous ai manqué comme vous me manquâtes. Ne plus sentir vos gentils crocs dans le corps de mes textes, quel crève-coeur !
Pour commencer je me dois de remercier chaudement l'oligophrène qui m'a piraté : grâce à lui, j'ai terminé plusieurs tubes de granules calmants qui traînaient dans mes tiroirs, j'ai reposé mes yeux pendant une huitaine et, surtout, je n'ai pas eu à faire le ménage de ma boîte mail, lequel je repoussais de mois en mois. Ceci dit, si ce charmant jeune homme -car je ne peux pas croire qu'une femme approche ce degré de sottise et d'avidité- a repéré mon lieu de résidence au cours de ses errances dans mes dossiers, il est cordialement invité à me rendre visite : j'ai une matraque de quarante centimètres qui aimerait faire sa connaissance.
Pour finir, je vous promets un retour un force, à commencer par demain où un article J'AIME sera consacré à Joseph Conrad.
Aux amateurs de mon livre HIER, LA TERRE, je dirais qu'après une semaine de grouignage me voilà dégrouigné, ventre de biche !
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